La Commission kényane des droits de l'homme rapporte que 82 critiques du gouvernement ont disparu depuis les manifestations de juin, avec au moins sept nouvelles disparitions ce mois-ci. La police nie toute implication malgré les manifestations croissantes et les arrestations. Ces disparitions signalent un changement préoccupant dans le climat politique du Kenya, les critiques étant ciblés après avoir partagé du contenu sur les réseaux sociaux et des images générées par l'IA critiquant l'administration du président Ruto.