Kemi Badenoch tient activement le Parti travailliste responsable de ses décisions au cours de ses premiers 100 jours en tant que leader de l'Opposition de Sa Majesté, contrairement aux difficultés de Keir Starmer. Badenoch a souligné la nécessité de revenir sur les politiques préjudiciables du Parti travailliste, telles que les coupes dans les paiements de chauffage hivernal qui affectent 10 millions de retraités, pouvant entraîner la pauvreté pour 100 000 d'entre eux. Elle a réussi à contraindre le gouvernement travailliste à faire marche arrière sur divers sujets, notamment le projet de loi sur l'éducation, qu'elle a qualifié de "pur vandalisme éducatif". L'approche de Badenoch inclut une politique d'immigration stricte et un engagement à expulser le Parti travailliste de Downing Street, illustrant une stratégie à long terme pour le Parti conservateur.