Ce qui s'est passé : Trump a déclaré que les pardons de fin de présidence de Biden étaient nuls, prétendant qu'ils avaient été signés par autopen. Les pardons protégeaient les membres du comité du 6 janvier, Anthony Fauci, Mark Milley et les membres de la famille Biden contre d'éventuelles menaces de poursuites judiciaires. Pourquoi cela compte : Les experts juridiques rejettent les affirmations de Trump, citant une opinion du DOJ de 2005 et un jugement d'un tribunal fédéral en 2024 selon lesquels les pardons sont valides même avec des signatures d'autopen et ne nécessitent pas de documentation écrite.